Mister Orloween★
04 avril 2013, entraînement en
éthologie, point neutre de
Mister Orloween au caractère
normal.
★
Bonus total: +3 (résumé +3)
★
Sortie: oui
★
Résumé:
En cette fin cde journée, j'avais finalement craqué sur un nouveau cheval aux enchères. Après avoir remporté la vente, j'étais partie rejoindre l'allée des box avec de décrouvrir un peu plus mon nouveau cheval. Mon choix s'était arrêté sur un superbe arabe de robe grise,, un magnifique entier. Après avoir parcourue la longue allée de box, j'arrivais enfin près de celui où logeait à présent Mister Orloween, mon cheval depuis quelques heures. Un sourire accroché aux lèvres, j'approchais du box toute joyeuse.
Coucou toi ! J’approchais doucement ma mains de ses naseaux, tout en restant assez méfiante des probables réactions dont l'étalon pourrait faire preuve, bien que d'après son vendeur, il n'était pas le genre de cheval agressif. Je posais donc délicatement la paume de ma main sur l'encolure de l'arabe, qui ne semblait pas trop craintif, s'approchant même de moi. J'avais emmené ma boite de pansage avec moi, l'ouvrant, j'y saisi un bouchon, puis m'approcha de la porte du box. Impatiente, j'ouvris finalement cette dernière, puis entra dans le box avec prudence. Mon regard était rivé sur l'entier qui ne bougea pas d'un centimètre, attentif à mes faits et gestes. Suffisamment proche de l'étalon, je glissais ma main munie du bouchon sous ses naseaux. Orloween s'y intéressa quelques secondes, puis semblait s'en fiche royalement. Je le brossais donc énergiquement, dépoussiérant sa robe grisâtre. Après l'avoir complètement pansé, il fallait que je m'attaque à ses sabots. Me saisissant de mon cure pied, je glissais l'une de mes mains le long de l'antérieur de mon cheval, qui comprit et plia aussitôt son membre. Après une bonne demi-heure à m'acharner pour que mon cheval soit propre, le résultat était plutôt réussi.
Que dirais-tu de faire plus ample connaissance ? Aussitôt dit, aussitôt fait. J'avais saisi mon licol dans ma boite, puis était rentrée à nouveau dans le box et m'approchais doucement de la tête de Orloween. Lorsque je lui présenta le licol, il y passa la tête, se laissant faire facilement. Assez surprise, je me dépêchais de fermer la boucle et de saisir suffisamment fort la longe dans mes mains. Sortant avec l'arabe à mes côtés, je l'emmenais dans le manège.
Après quelques minutes de marche, nous arrivions à hauteur du manège. L'entier s'était plutôt bien tenue, il avait était relativement calme. Une fois que nous fûmes entrer dans la carrière, j'attrapais la chambrière qui se trouvait le long des clôtures puis alla me placer au centre de la carrière, longe toujours en main. Au pas. A l'entente de ma voix, Mister Orloween redressa les oreilles, puis prit finalement le pas. L'arabe décrivait des cercles peu convaincant et très large, mais le but de cette première séance n'était pas réellement de le faire travailler, mais plutôt d'installer une certaine complicité. Après un certain nombre de tours au pas, je fis claquer la chambrière dans le sable derrière lui, il comprit aussitôt et prit le trot à la foulée qui suivie. Je l'admirais se déplacer, il avait vraiment fière allure, ses muscles saillants explosait de son corps. Je ne regrettais pas le moindre du monde mon achat.
Galop. La réponse à ma demande fut très rapide, Orloween enchaîna sans problème de compréhension. Il secoua vivement l'encolure, mais ne fit rien de plus. Je laissais suffisamment de large à la longe pour laisser l'étalon se placer à la distance qu’il désirait, je ne voulais pas l'obliger, le forcer, il devait venir à moi de lui même. Et il fallait dire que mon attente se mit à payer. Après plusieurs tours au galop, je l'avais fait repassé au trot, puis au pas. Et contre toute attente, il s'était rapprocher de moi, encore , et encore. Jusqu'à finalement venir fourrer ses naseaux dans l'une de mes poches. Un sourire amusé parcouru mes lèvres, tendit que je sortais un bout de carotte.
Tiens mon grand. Il s'en saisit aussitôt, et alors qu'il croquait le bout de carotte, j'en profitais pour poser ma main contre son encolure, puis la glisser jusqu’à sa croupe. Il avait à peine réagit, un léger frisson était perceptible. Durant une bonne heure, je travaillais l'éthologie avec lui, voulant aussi par la même occasion nous créer un lien fort.
Finalement, je décidais d'arrêter la pour aujourd'hui. Reposant la chambrière près des barrières, j'emmenais Mister Orloween à l'extérieur de la carrière, puis le dirigea de nouveau à son box. Une fois sur place, je l'accrochais devant le box, à un petit anneaux fait pour. Mon bouchon en main, je dépoussiérais de nouveau le corps de mon bel entier, puis une fois fait, un rapide coup de cure pied sur les sabots, et hop, je l'emmenais. Le temps n'était pas encore superbe, mais il ne faisait pas si froid, et puis il l'avait mérité. Ainsi, peut-être comprendrais-t-il qu'il ne travaillera pas tout le temps.
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